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Portrait du mois : Gilles Coulombe

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Découvrez Gilles Coulombe, membre de l'ACP  

 

Gilles Coulombe

 

Comment j’ai atterri dans l'ACP

Tout simplement grâce à la connivence à mon insu entre la présidente de l’ACP, Marilène Garceau, et ma femme : l’une voulait recruter une personne susceptible d’organiser la journée annuelle Terry Fox à Paris, l’autre me considérait comme le candidat parfait pour assumer cette tâche. En l’espace d’une journée, je me suis retrouvé le premier homme à devenir officiellement membre de l’ACP ainsi que le responsable de cette importante activité philanthropique.

 

Le métier que je fais

Le plus beau ainsi que le plus valorisant des métiers, celui de rentier au service de ma femme. Après une longue carrière dans les fonctions publiques municipale et provinciale au Québec ainsi que plusieurs années par la suite à rénover des espaces résidentiels, je me suis retrouvé dans un milieu de vie diplomatique, social et culturel particulièrement enrichissant, à tous égards.

 

Mon lieu préféré en France ou au Canada

Je suis natif du Saguenay, précisément de Port-Alfred qui se trouve en bordure du majestueux Fjord Saguenay. Ce magnifique territoire est gravé dans ma tête et mon cœur même si j’ai eu la chance de parcourir le Québec et le Canada et de découvrir des sites fabuleux. Cependant, j’apporte une mention spéciale à Ivujivik situé dans le Nunavik, marchant la nuit sur une neige très dure et craquante tout en admirant une extraordinaire aurore boréale.

 

Mon talent caché

Je ne crois pas posséder un talent particulier mais voilà, je ressens une grande fierté pour tout ce qui concerne mes réalisations, qu’elles soient de nature familiale, intellectuelle, artistique ou manuelle. Que ce soit auprès de nos enfants, au sein d’une chorale, sur une scène de théâtre, à la suite du réaménagement d’un espace ou autres défis personnels, j’ai le sentiment d’avoir accompli un dépassement de soi significatif, d’avoir concrétisé mes rêves d’enfant et d’adolescent.

 

Ce que j’ai appris dans la vie

Un philosophe et essayiste québécois d’origine belge, Placide Gaboury, a dit un jour une phrase qui m’a particulièrement touché : « Il faut savoir dire oui à ce qu’on est et à ce qu’on veut vraiment, peu importe la difficulté. » 

Je viens de vivre quatre années en France, à découvrir et apprécier différentes facettes de la vie quotidienne des Français ainsi que des expatriés canadiens et étrangers. Arrivé dans ce pays magnifique avec le désir de le vivre et le ressentir sans retenue, voilà ce qui s’est avéré le gage d’un séjour exceptionnel. Comme quoi, la concrétisation d’un rêve est toujours possible … si on y croit vraiment ! 

 

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